PUBLICITÉ
D’après le maire de Boutcha, près de 300 personnes ont dû être enterrées dans des “fosses communes”, faute de pouvoir accéder aux cimetières de manière sécurisée. Les cadavres jonchent les rues de la ville.
D’après le maire de Boutcha, près de 300 personnes ont dû être enterrées dans des “fosses communes”, faute de pouvoir accéder aux cimetières de manière sécurisée. Les cadavres jonchent les rues de la ville.
Vous avez choisi de refuser le consentement des cookies. Ce site totalement gratuit depuis sa création et a pour vocation de le rester. En nous empêchant de diffuser de la publicité ciblée, vous ne permettez plus au site de vivre.
Nous vous proposons donc de revoir votre choix et d'accepter les cookies en cliquant ici afin de reprendre une navigation adaptée.
Merci à vous