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Une semaine après le début de son procès, le Chilien maintient devant la Cour d’assises du Doubs qu’il n’a rien à voir avec la disparition de Narumi Kurosaki. Pourtant, plusieurs éléments le désignent comme coupable.
Une semaine après le début de son procès, le Chilien maintient devant la Cour d’assises du Doubs qu’il n’a rien à voir avec la disparition de Narumi Kurosaki. Pourtant, plusieurs éléments le désignent comme coupable.
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