Olivia Pratt-Korbel, une fillette de 9 ans, avait été tuée par deux balles qui ne lui étaient pas du tout destinées. Prenant son courage à deux mains, l’ex du tueur à gage témoigne contre lui.
L’assassin d’Olivia Pratt-Korbel, Thomas Cashman, 34 ans vient d’être reconnu coupable de meurtre après que son ex-petite-amie, chez qui il s’est réfugié le soir de l’incident, ait tout raconté au tribunal. Elle a expliqué que le meurtre de cette petite l’a dégoutté, d’autant plus que Thomas Cashman, tueur à gages, refuse de reconnaître les faits. Écœurée par le crime commis par son ex-petit-ami, elle livre les détails accablants au tribunal. Le 22 août 2022, le tueur à gages Thomas Cashman cherche à tuer dans une rue de Dovecot, à Liverpool, Joseph Nee, un trafiquant de drogue rival, rappelle l’article du SUN du 30 mars 2023.
Après avoir tiré trois coups de feu sur Joseph Nee et l’avoir raté, l’arme de Thomas Cashman s’enraye. Ce qui a heureusement donné le temps à Nee de se précipiter dans la maison où habitait Olivia Pratt-Korbel, la petite fille de 9 ans. La petite Olivia était debout terrifiée dans les escaliers. Elle était en pyjama, rappelle le SUN. Thomas Cashman. Le tueur à gages contre qui l’ex-petite-amie a pris le courage de témoigner, a sorti une seconde arme pour en finir avec sa cible. Il tire “à l’aveuglette sur la porte d’entrée” et touche deux fois la petite fille de 9 ans.
Le commissaire Mark Baker a loué le courage du témoin qui va bénéficier d’un programme de protection des témoins en déclarant : “Elle a défendu ce qui est juste – la justice“. Après son crime, Thomas Cashman, 34 ans, s’est réfugié dans la maison de son ex-petite-amie qui était en train de dormir. Son ex a déclaré à la police qu’il lui a dit de changer de vêtements et que Thomas avait déclaré à un homme qui arrivait chez elle “J’ai fait Joey“. L’avocat de Thomas Cashman a cherché à décrédibiliser le témoignage de cette femme dont le nom n’a pas été divulgué. Elle serait furieuse parce que Thomas n’a pas accepté de quitter sa compagne. Pour l’ex, il n’en est rien et elle a avancé : “S’il était un homme, il le reconnaîtrait. Je ne peux pas croire qu’il fasse subir à la famille ce qu’elle est en train de subir“.
