C’est une Caroline Barclay sans langue de bois qui était invitée de Chez Jordan sur C8 ce mardi 27 juin. L’ex-épouse d’Eddie Barclay a répondu aux questions cash de son interlocuteur, à commencer par celles sur son divorce. Après dix ans de mariage, en 1998, Caroline et Eddie Barclay ont décidé de divorcer. Le producteur de musique lui ayant posé un ultimatum, Caroline Barclay y a vu une opportunité. “J’avais 30 ans, il en avait 75, je me suis dit que c’était ma chance”, confiait-elle en 2022, déjà à Jordan De Luxe. Cette fois, son interviewer a souhaité savoir le coût de leur divorce. “Eddie était très sympathique mais quand il se séparait – c’est aussi pour ça qu’il a pu se marier huit fois -, il ne voulait rien donner à sa femme. Zéro !”, lâche-t-elle.
Mais Caroline Barclay ne s’est pas laissé faire. “J’étais un peu ennuyée parce que je l’ai rencontré, j’avais 20 ans, j’étais en fac de droit, j’ai arrêté mes études pour me marier et vivre avec lui”, détaille-t-elle. Elle avait très peu travaillé avant de se mettre en ménage avec Eddie Barclay. Pire encore, c’est lui qui gérait les finances de madame. “Je n’avais même pas un compte en banque à mon nom quand j’étais avec lui, c’est lui qui encaissait mes cachets, mes honoraires”, dévoile-t-elle. Quand l’heure de prononcer le divorce est arrivé, Caroline Barclay a donc “réclamé, à l’époque, en 1998, 2 millions de francs, je crois que ça équivaut à 300 000 euros”, comme elle le révèle. “Au bout de 10 ans de mariage où je n’ai rien gagné pendant ces dix ans où j’ai arrêté mes études, il fallait quand même que je puisse au moins me loger, quoi”, estime la principale intéressée.
#CarolineBarclay révèle #ChezJordan toucher une partie de la retraite d’#EddieBarclay ! pic.twitter.com/EQKon6D1g9
— C8 (@C8TV) June 27, 2023
Caroline Barclay : “Il a été obligé de me les donner”
Eddie Barclay, lui, “n’était pas ok du tout au départ donc j’ai dû prendre un avocat et il a été obligé de me les donner parce que ce n’était pas non plus une somme… ça restait très raisonnable par rapport à son train de vie”, rapporte Caroline Barclay. En revanche, malgré leur séparation, elle a pu conserver le nom de son ex-mari. “C’était inscrit dans le jugement de divorce”, explique-t-elle. Et de renchérir : “Comme il ne me laissait pas un très gros chèque, il fallait que je puisse travailler assez rapidement.” Et alors qu’elle avait dans l’idée de créer un agence d’événementiels, elle reconnaît que c’était “plus facile de travailler sous le nom de Caroline Barclay que sous le nom Giganti – ce qui ne l’a pas dérangé du tout”. D’autant qu’ils se sont quittés en bons termes.
