Dans la nuit du jeudi 30 janvier au vendredi 31 janvier, la tombe du fondateur du Front national a été vandalisée dans le cimetière de la Trinité-sur-Mer. Elle aurait été dégradée « à coups de masse ». Le cimetière avait pourtant été mis sous surveillance par les autorités, qui craignaient justement que des actes malveillants soient commis.
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Après la nouvelle, les réactions n’ont pas tardé à fuser. Marion Maréchal et des membres du Rassemblement national (RN) se sont insurgés, à commencer par le patron du parti, Jordan Bardella, qui a dénoncé « un acte inqualifiable, commis par ceux qui ne respectent ni les vivants ni les morts ».
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« La morale la plus universelle réprouve déjà ses auteurs : je souhaite qu’ils soient également retrouvés et sévèrement punis par la justice », a encore écrit l’eurodéputé sur son compte X, ce vendredi 31 janvier.
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À sa sortie de la commission mixte paritaire sur le budget 2025 à l’Assemblée nationale, le député RN de la Somme, Jean-Philippe Tanguy, a été interrogé à ce sujet au micro de BFM TV : « J’imagine que c’est à peu près la même racaille qui a célébré, place de la République, la mort d’un homme. Cela dit tout d’eux. » Pour l’heure, Marine Le Pen, elle, n’a pas encore réagi.
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