Citroën est touchée plus durement que d’autres marques par la crise Takata en raison d’un cumul de facteurs techniques, logistiques et géographiques. L’ampleur du rappel, la difficulté d’évaluer les risques, et la lenteur de la réponse ont provoqué une crise majeure, dans laquelle le constructeur est sommé de rattraper un retard désormais très visible.





