Aymeric Caron pousse un coup de gueule. Dans son viseur : la dégradation, selon lui, de l’esprit de la Fête de la musique à Paris. « Il n’y est plus question de musique, de création, de familles, mais de machines à cash pour les bars sur fond de musique de DJ crashée à fond par des enceintes qui perforent les murs des appartements », a écrit le député LFI sur X, dans la nuit du samedi au dimanche 22 juin.
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Dans de telles conditions, l’élu de Paris comprend que les « nerfs des Parisiens » soient mis à mal, « parfois dès 14 heures, contre toute légalité ». Le président du microparti Révolution écologique pour le vivant abonde : « L’événement draine maintenant des foules avinées qui deviennent par moments dangereuses ».
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D’après lui, « il faut revenir à l’esprit de la musique originelle ». C’est-à-dire « permettre aux gens de descendre dans la rue FAIRE de la musique, avec les instruments, mettre à l’honneur des groupes amateurs, et trouver les bons endroits pour les mettre en valeur ».
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