
Une provocation en plein lieu de culte. Lors d’un festival basque de musique, une artiste espagnole s’est livrée à des gestes blasphématoires dans une église de la commune d’Arbérats-Sillègue, dans les Pyrénées-Atlantiques, où se tenait l’événement.
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Dans une vidéo abondamment relayée sur les réseaux sociaux, on aperçoit la jeune femme grimper sur l’autel du lieu de culte, avant de mimer une masturbation avec un crucifix. Quelques heures plus tard, l’artiste s’est félicitée de son spectacle dans un message publié sur X : « Dans une église non profanée, 200 personnes ont ébranlé les fondements du catholicisme par des éclats de rire chaleureux. Nous avons profané, blasphémé et dénoncé les abus sexuels dans l’Église ».
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Dans le même temps, la scène a suscité l’ire des croyants. Dans un communiqué, le diocèse local a dénoncé des « gestes particulièrement obscènes tout en tenant des propos violemment antichrétiens ». Et d’ajouter : « De tels agissements heurtent profondément la communauté catholique. Ils constituent, aux yeux de l’Église, un sacrilège qui appelle un acte de réparation. »
Sur X, l’eurodéputée Identité-Libertés Laurent Trochu s’est insurgée contre « une nouvelle attaque directe contre la foi chrétienne ». Avant de questionner : « Comment un tel spectacle a-t-il pu être autorisé dans un lieu sacré ? Pourquoi ce deux poids deux mesures lorsqu’il s’agit de la religion chrétienne ? […] Assez de lâcheté. Le respect des chrétiens et de leurs lieux de culte n’est pas négociable ».
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