L’Otan met en garde contre une possible offensive de la Russie. Mark Rutte était en visite à Varsovie, ce mercredi 26 mars, pour y rencontrer le Premier ministre Donald Tusk. Aux côtés de ce dernier, le patron de l’organisation a prévenu qu’une « attaque contre la Pologne ou tout autre allié » mènerait à une riposte « dévastatrice » des pays de l’OTAN.
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« Si quelqu’un devait se tromper et penser qu’il peut s’en tirer avec une attaque contre la Pologne ou tout autre allié, il serait confronté à toute la force de cette alliance farouche. Notre réaction sera dévastatrice », a-t-il déclaré lors de son déplacement. Mark Rutte a d’ailleurs cité nommément Vladimir Poutine.
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Alors que les discussions sont toujours en cours en vue d’un cessez-le-feu en Ukraine, le président russe et son homologue américain, Donald Trump, semblent s’être considérablement rapprochés ces dernières semaines. Plus d’un mois après l’échange électrique entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump à la Maison-Blanche, qui a mené un temps à la crispation des relations, le dialogue a depuis repris.
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Si aucune trêve n’est pour l’instant prévue, Washington a annoncé mardi 25 mars qu’un accord avait été négocié entre Kiev et Moscou sur un arrêt des combats en mer Noire. La Russie a toutefois conditionné cet accord à la « levée » des restrictions occidentales sur le commerce de céréales et d’engrais russes, un souhait qui a peu de chance d’être exaucé.
Ce mercredi 26 mars, le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a fait savoir que le Kremlin était « satisfait de la manière pragmatique et constructive dont se déroule le dialogue » avec l’administration de Donald Trump. De son côté, Volodymyr Zelensky est attendu en fin de journée à Paris pour rencontrer Emmanuel Macron à la veille d’un nouveau sommet sur « la paix et la sécurité de l’Ukraine ».
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