L’essentiel
- Un chien a été abattu près d’une école à Lantosque (Alpes-Maritimes), alors qu’il était en promenade avec sa jeune maîtresse âgée de 6 ans.
- Une enquête de gendarmerie a été ouverte suite à une plainte déposée par la mère de la fillette, propriétaire du chien nommé « White ».
- Selon le témoignage de la mère, le chien est parti en courant avant de revenir un peu plus tard avec du sang sur la patte et sur le ventre. Il a succombé peu de temps après.
Depuis samedi, des particuliers et des associations de défense des animaux relaient sur les réseaux sociaux un appel à témoins au sujet d’un fait divers sordide ayant eu lieu à Lantosque, un village des Alpes-Maritimes au nord de Nice. Un chien a été abattu presque sous les yeux de sa maîtresse… âgée de 6 ans.
Les faits se sont déroulés jeudi dernier, vers 17 heures, aux abords de l’école primaire et de la gendarmerie du village. « Un malheureux chien a été abattu par arme à feu alors qu’il était avec sa jeune maîtresse (une enfant en primaire) en balade », assure Delphine S, l’internaute qui a lancé l’appel à témoins pour tenter d’identifier le tireur.
Contactée par 20 Minutes, la gendarmerie de Lantosque confirme « qu’une enquête a été ouverte » pour ces faits sans toutefois donner davantage de précisions. On sait néanmoins qu’une plainte a été déposée à la gendarmerie par la mère de la fillette, propriétaire du chien qui a été abattu.
Sur les circonstances des faits, les autorités sont donc restées muettes. Cependant, la mère de la fillette explique à Nice matin que l’animal, baptisé « White », était gardé par celle-ci le temps qu’elle sorte de chez elle avec la poussette et le bébé. C’est à ce moment que le chien est parti en courant avant de revenir un peu plus tard avec du sang sur la patte et sur le ventre.
C’est une fois l’animal ramené chez elle, et après avoir nettoyé le sang, que sa maîtresse a découvert le trou causé par une balle au niveau de l’abdomen. Le chien a fini par succomber. Un examen vétérinaire doit confirmer si la blessure est effectivement le fait d’une balle. Aux gendarmes incombe la tâche de déterminer l’origine du tir et s’il était intentionnel ou accidentel.
