Alexia Laroche-Joubert a répondu aux interrogations de Matthieu Delormeau au sujet du choix des candidates au concours de Miss France, lors de sa venue dans Touche pas à mon poste ce lundi.
Le concours de Miss France est-il réellement plus représentatif de la société actuelle comme le souhaitait Alexia Laroche-Joubert ? Invitée dans Touche pas à mon poste sur C8 ce lundi 2 janvier, la nouvelle présidente du concours Miss France a répondu aux interrogations de Matthieu Delormeau. Le chroniqueur de Cyril Hanouna a été interpellé par le profil des candidates de la dernière édition. En effet, la présidente du comité Miss France avait promis d’ouvrir le concours à toutes.
Matthieu Delormeau a lancé : “C’était l’année ou a la base on devait ouvrir aux mamans, aux tatouages aux femmes qui sont un peu plus fortes enfin tu vois l’année un peu à tous afin de montrer que la beauté c’est pas du 36 ou des femmes d’1m80. Là, cette année, quand tu regardais toutes les filles, je n’ai jamais vu ça de ma vie c’était que des mannequins que des bombes encore plus que les autres années. Elles sont où les trans, les mamans, celles qui ont des gros culs ?”
“La question est intéressante”, a concédé Alexia Laroche-Joubert. Celle qui a succédé à Sylvie Tellier a répondu sans rougir : “Tu as raison, on a parfaitement ouvert, a-t-elle commencé. Il s’avère que c’est pas nous qui choisissons les jeunes femmes qui se présentent à nous au niveau national. C’est au niveau local. C’est le choix du public localement. Les choses vont se faire petit à petit, aussi.” Car avant de prétendre au concours national, les Miss sont élues à l’échelle régionale.
Aux côtés d’Alexia Laroche-Joubert se trouvait Indira Ampiot, Miss France 2023. Miss Guadeloupe a entamé sa première année de règne. La jeune femme de 18 ans a obtenu en juin dernier son baccalauréat. Son souhait ? Intégrer une école spécialisée dans la communication et se spécialiser par la suite en identité visuelle et publicitaire.
